jueves, 7 de noviembre de 2013

Un « outing » forcé de personnalités qui fait scandale. Plusieurs personnalités camerounaises ont été classées dans trois journaux locaux comme étant homosexuelles. La Météo a amorcé l’outing il y a une dizaine de jours, L’Anecdote et Nouvelle Afrique ont suivi. Cette affaire, qui risque d’avoir des suites judiciaires, éclate dans un contexte général d’homophobie, notamment prêchée par les chefs religieux chrétiens ou musulmans. On ne parle plus que de ça. Il y a une dizaine de jours, le journal camerounais La Météo a publié dans ses colonnes une liste de personnalités qui sont, selon lui, homosexuelles. Un crime dans ce pays. Ces outings ont fait des émules, puisque L’Anecdote et Nouvelle Afrique ont aussi publié le nom de grands du Cameroun qui, d’après eux, « en sont ». Les listes, que nous n’avons pas pu nous procurer, ne seraient pas identiques. Mais il semble que les patronymes de ministres, de proches du Président Paul Biya, d’hommes d’affaires et autres artistes apparaissent. Résultat : les personnalités qui s’estiment diffamées pourraient porte plainte. Climat d’homophobie latente Au Cameroun, les homosexuels sont loin de vivre leurs relations au grand jour. Leur orientation sexuelle est en effet considérée comme un crime aux yeux de la loi, passable de lourdes peines. L’article 347 bis du code pénal stipule que toute personne reconnue coupable d’homosexualité encourt « un emprisonnement de six mois à cinq ans » et « une amende de 20 000 à 200 000 francs CFA » (environ de 30 à 305 euros). Si l’homosexualité est aussi mal vue, c’est que les Camerounais refusent de concevoir que cette sexualité puisse se pratiquer dans leur pays. « Ce n’est pas dans notre culture, pas dans nos mœurs », « c’est un truc d’Occidentaux », expliquent certains. L’affaire des outings éclate donc dans un climat d’homophobie latente. Une homophobie qui semble s’être radicalisée ces derniers mois. En mai dernier, une dizaine d’homosexuels présumés ont été arrêtés dans un bar de Yaoundé et détenus plusieurs mois sans procès. On ne sait pas s’ils ont enfin retrouvé l’air libre. Le 15 juillet à Douala, c’est un Britannique de 51 ans qui a été arrêté après avoir été retrouvé chez lui en compagnie d’un jeune homme majeur. « Le fils de l’ancien joueur de football Théophile Abega a égorgé en pleine classe un camarade d’origine burundaise, qui, selon la version officielle, lui faisait des avances. La presse a presque salué le geste », se souvient Stéphane, un gay de 30 ans qui a refusé de se jeter sur les journaux. Un climat qui a entraîné une psychose dans les lieux fréquentés par les gays et lesbiennes, qui craignaient à tout moment une descente de policiers ou de gendarmes. Car ceux qui réprouvent l’homosexualité pratiquent volontiers la délation et les autorités sont bien décidées à serrer la vis sur un « phénomène » qu’elles jugent malsain. Les journaux n’ont aucun regret Côté religieux, on ne fait pas plus de cadeaux. Lors de son homélie du 25 décembre, l’Archevêque de Yaoundé Victor Tonye Bakot a dénoncé les relations entre personnes du même sexe : « Je dois vous dire que l’homosexualité est un complot contre la famille et le mariage. Ne l’acceptons pas chez nous. Ce sont des moeurs contre nature (...) On expose gravement nos jeunes à cette perversion morale à cause du pouvoir de l’argent. Pour un poste de travail, une entrée dans une grande école, on contraint nos jeunes à l’homosexualité que l’on veut légaliser. (...) L’homosexualité est donc une perversion contre laquelle il nous faut lutter tous ». A l’occasion de la fête du mouton, le 10 janvier dernier, le cheik Ibrahim Mbombo a, pour sa part, dénoncé l’homosexualité et la pédophilie, qu’il juge « avilissantes ». Un contexte qui a facilité la publication des noms de personnalités du pays, même si le sérieux de l’enquête n’est pas avéré. Et que d’aucuns n’excluent pas que les politiciens se livrent une guerre larvée par journaux interposés... « Nous avons bénéficié d’un certain concours de circonstances qui nous a poussé à publier cette liste. Le contexte était favorable. Déjà dans la société, les gens en parlaient sous cape », a déclaré le rédacteur en chef de La Météo dans une interview accordée au Messager. Sans regret, il estime avoir fait son travail et se retranche derrière les droits de liberté d’expression et d’opinion de la Déclaration universelle des droits de l’Homme pour justifier son choix éditorial. « Nous naviguons dans le même sens que l’archevêque de Yaoundé, Mgr Victor Tonye Bakot, qui, dans son homélie du 25 décembre dernier, a qualifié le phénomène homosexuel d’infamie, de complot contre la famille et le mariage, de moeurs contre-nature que nous ne devons pas accepter chez nous », a justifié François Bikoro Obah, rédacteur en chef de L’Anecdote, qui assure à la Pana avoir « réuni toutes les preuves de ses écrits » et « fait actuellement oeuvre de salut public ». Les « Trois mousquetaires », comme on les surnomme dans certains médias, gardent donc le cap sur leur décision, en dépit des menaces. La presse soutient les « Trois mousquetaires » Certains journaux soutiennent plus ou moins le combat de leurs confrères. Dans son édito daté du 30 janvier, le rédacteur en chef du Quotidien Mutations explique que « pour le mal qu’elle peut engendrer dans notre pays et la déroute qu’elle constitue pour la jeunesse, le combat contre l’homosexualité mérite d’être mené ». Le Messager regrette pour sa part des défaillances professionnelles des journaux ayant publié un liste, des « journalistes » ayant, selon lui, fait du chantage à certains pour qu’ils leur donne de l’argent contre l’oubli de leur nom à la publication : « Cette façon spécieuse de travailler, on s’en doute, pourrait définitivement jeter l’opprobre sur une démarche professionnelle appréciable. Et l’effet escompté, à n’en point douter, risque de se diluer dans des querelles intestines. L’essentiel - démasquer des personnes en marge des bonnes mœurs et de la loi camerounaise sur l’homosexualité - serait alors oublié. Le séisme médiatique (sur l’actualité en rapport avec l’homosexualité) tant espéré ne serait alors qu’un coup d’épée dans l’eau. Pour le plus grand malheur des autorités morales en guerre contre cette déviance sexuelle. Les homos du Cameroun, quant à eux, tapis dans l’ombre, pourront continuer sans inquiétude leurs pratiques détestables ». Pour certains habitants, se fournir la publication des listes a été l’occasion de « vérifier ou infirmer » leurs soupçons. « On entendait des rumeurs : on a vu tel ministre sortir d’un hôtel avec untel. Mais c’est déclaré de façon ouverte, ça fait peur ! J’ai rencontré plusieurs filles lesbiennes et, pour moi, ce n’est pas aussi grave. En revanche, après toutes ces années, je n’arrive toujours pas à comprendre pour les hommes, à les imaginer l’un au-dessus de l’autre... », confie Jean. En attendant, les feuilles de choux se sont vendues comme des petits pains. On rapporte même des ruptures de stock. Les journaux ont même été photocopiés, se vendant à prix d’or. « Nous n’avons rien eu en terme de rentrée financière. Ce sont les revendeurs qui ont profité sur notre dos. Ils photocopient nos articles pour les revendre à 1 000, 1 500, 5 000 FCFA », ont expliqué, selon Le Messager, les patrons des trois journaux. Soit dans certains cas 10 fois le prix du journal. Pas la peine de compter sur la Maison des droits de l’Homme Le ministre délégué à la présidence de la République chargé des Relations avec les assemblées a envoyé un droit de réponse à L’Anecdote pour démentir l’homosexualité qu’on lui prête. Musicienne et journaliste Rosine Ebessa s’est, quant à elle, tournée vers l’Archevêque de Yaoundé, à qui elle a écrit son désespoir devant « ces accusations diffamatoires et dénigrantes qui ternissent [son] image à la fois auprès de [sa] famille, [ses] collègues et [ses] nombreux fans », rapporte Le Quotidien Mutations. Le ministre de la Communication a rabroué les journalistes, lundi, lors des ses vœux de nouvelle année. Le ministre de la Communication n’a pas mâché ses mots quant aux « dérives désespérantes » des journaux privés. Pierre Moukoko Mbonjo considère que publier une liste « n’est pas drôle et ne fait pas rire, surtout lorsque les mis en cause sont de hauts responsables de la République et que l’on ne dispose pas de preuves irréfutables. (...) Que l’on soit hétérosexuel ou homosexuel, l’acte sexuel se déroule dans un endroit intime, entre deux personnes, et même dans le cas d’un couple marié et hétérosexuel, seul leur statut et la naissance des enfants laissent présager des activités auxquelles peuvent se livrer ces deux personnes ». Pour le moment, aucune plainte n’aurait été déposée, même s’il n’est pas exclu que cela change dans les prochains jours. « La loi au Cameroun prévoit que dans un cas de diffamation, il appartient à la personne diffamée de saisir un tribunal. Jusqu’à présent, je n’ai pas eu connaissance d’une plainte déposée », assure un responsable du ministère de la Justice, qui estime qu’avec « le temps les choses vont se tasser ». Stéphane voit d’autres issues possibles. « On n’aura peut-être pas de chasse aux sorcières, mais la société va se radicaliser contre les homosexuels », estime le jeune homme gay. Et ce n’est pas la Maison des droits de l’Homme, bizarrement homophobe, qui leur viendra en aide si on les attaque. Lorsque nous lui avons demandé comment elle réagirait si un couple de femmes ou d’hommes lui demandait une assistance parce qu’il est persécuté, la directrice, Madeleine Afite, a déclaré : « En principe, s’ils sont poursuivis, nous demanderons l’application de la loi pour qu’ils comprennent que l’homosexualité n’est pas une bonne chose. Nous veillerons à ce qu’ils ne soient ni bastonnés, ni torturés et que les textes soient appliqués »... C

martes, 5 de noviembre de 2013

Mi ciudad favorita


El desierto de sahara es el desierto cálido más grande del mundo, con unos 9.065.000 km² de superficie.2 Está localizado en el norte de África, repasándola. en dos zonas: el África mediterránea al norte y el África subsahariana al sur. Limita por el este con el mar Rojo, y por el oeste con el océano Atlántico; en el norte con las montañas Atlas y el mar Mediterráneo


Tiene más de 2,5 millones de años. Su nombre deriva del árabe ṣaḥrāʾ  (desierto). Se extiende por el territorio de los siguientes países: ArgeliaTúnezMarruecosSahara Occidental,MauritaniaMalíNígerLibiaChadEgipto y Sudán, aunque se sabe que el Sahara se expande y contrae a ciclos regulares, de tal forma que sus fronteras con los distintos territorios son poco constantes.De día la temperatura puede ascender a 40 grados y las noches son muy frías. Lo más bonito es ver la luna.Y lo más excitante es el silencio y la inmensidad de como se ve el espacio. Hace años se organizaban rally  que se llama París-Dakar.


lunes, 4 de noviembre de 2013

AFFAIRE MARTHE MOUMIË

AFFAIRE MARTHE MOUMIE NEE EKEMEYONG : L’OMERTA
                                                                            JEAN ARTHUR AWOUMOU
                                                           BUREAU DU COMITE DIRECTEUR DE L’UPC  


         Après la stupeur de l’opinion publique, les effets de manche de la police et des tribunaux, trois ans plus tard encore des trous noirs.

        Le 07 janvier 2009 Marthe MOUMIE née EKEMEYONG cadre de l’UPC depuis 1950 est violentée, violée et tuée par EBOUTOU MINLA’A  Franck né le 07 avril 1990. Ce dernier dérobe au passage un poste radio, un lecteur DVD, des cassettes CD, des vêtements, des draps, une valise et un téléviseur. Marthe MOUMIE, âgée de 78 ans et découverte sans vie le matin du 08 Janvier 2009 étendue sur le ventre et recouvert d’un drap jusqu’aux épaules. EBOUTOU  MINLA’A Franck est condamné à une peine capitale pour vol aggravé et viol le 21 février 2013 par le tribunal de grande instance d’Ebolowa.

L’HORREUR
EBOUTOU MINLA’A  Franck  est arrêté le 11 Janvier 2009 à TOM, située à une vingtaine de kilomètres d’Ebolowa. De l’aveu de EBOUTOU MINLA’A Franck, il est arrivé chez Marthe MOUMIE vers 13 heures. Profitant du fait que Marthe MOUMIE est allé vider sa poubelle, il s’est infiltré dans la maison et s’est caché sous le lit de Marthe MOUMIE. Croyant Marthe MOUMIE profondément endormie, à 20 heures EBOUTOU MINLA’A sort de sa cachette. Marthe MOUMIE se réveille en sursaut et se met à crier. Elle saisit EBOUTOU MINLA’A, il s’en suit une bagarre entre les deux. Il la renverse, l’étrangle pendant dix minutes et la viole. A 5 heures du matin,  il se rend dans la chambre de la victime pour s’assurer qu’elle est réellement morte. L’expertise médico-légale d’une équipe de médecins de l’hôpital public régional du Sud à Ebolowa révèle clairement : des lésions ecchymotiques sur la face, des lésions bucco-dentaires, des dents cassées, la tuméfaction de la lèvre supérieure des lésions vaginales et des spermatozoïdes. Marthe MOUMIE a donc été battue, violée, étouffée par son ou ses meurtriers. Elle est morte asphyxiée. Ayant avoué volontairement  ses  forfaits, les dépositions de l’enquête préliminaire faisant foi, EBOUTOU MINLA’A tombe sous le coup des articles 315 alinéa 3 et 336 alinéa-b du code pénal Kamerunais. EBOUTOU MINLA’A est reconnu coupable de vol aggravé et de viol et condamné à une peine capitale.

LOI DU SILENCE
Dans une correspondance du 08 novembre 2011 au Président du Tribunal de Première instance d’Ebolowa, Helene MOUMIE avait exprimé ses réserves sur la qualité des prélèvements et leurs circonstances d’acheminements aux laboratoires. Elle y avait exigé une contre expertise. Le  Président du Tribunal de Première Instance est resté silencieux. Helene MOUMIE était septique sur les résultats d’autant plus qu’une réunion avait eu lieu à Ebolowa où étaient présents : Le Chef de l’hôpital d’Ebolowa, le Chef de la police politique d’Ebolowa, le Gouverneur et le médecin désigné d’autorité par le pouvoir en place sans l’avis des ayants droit. Ni Helene MOUMIE ni personne d’autre de la famille de Marthe MOUMIE n’ont été conviées à cette réunion. Afin que la contre expertise soit faite, le TRIBUNAL D’Ebolowa avait exigé à la fille de Marthe MOUMIE, de payer les frais pour les analyses ADN. Elle a obtempéré en versant 2397,90 Francs suisse (1.267.183 FCFA). Le centre universitaire romand de médecine légale de Suisse n’a pu déceler les traces de spermatozoïdes des tubes et seringues que l’institut pasteur de Yaoundé lui a expédié. Le centre universitaire romand Suisse n’a pas aussi analysé certains tubes et a trouvé  un ADN qui correspond au profil africain dont d’EBOUTOU MINLA’A. Il apparait que les éléments constitutifs pour analyses ADN d’EBOUTOU  MINLA’A n’ont pas été expédiés à Lausanne car il est improbable que le centre universitaire romand Suisse n’ait pu déceler ni l’ADN, ni les spermatozoïdes de EBOUTOU MINLA’A. Si le centre universitaire romand a décelé une très faible présence de spermatozoïdes des éléments à analyser, ça voudrait dire qu’il n’a pas reçu les éléments pour analyses de l’appareil génital de la victime dans la mesure où une équipe de médecins Kamerunais à Ebolowa a certifié après analyse médicale : Des  lésions et des spermatozoïdes dans l’appareil génital de la victime. Le centre universitaire romand aurait dû non seulement confirmer les analyses des médecins Kamerunais mais  aussi établir si l’ADN et les spermatozoïdes étaient ou non d’EBOUTOU MINLA’A. La substitution et la rétention de ces éléments pour analyse ADN ont été opérés très probablement à Ebolowa et à Yaoundé car c’est sous l’autorité du médecin Kamerunais du centre Pasteur de Yaoundé ayant participé à cette rencontre à huis clos chez le Gouverneur que sont expédiés les éléments pour analyses au centre universitaire Romand. Ce qui confirme la confidence d’EBOUTOU MINLA’A à l’avocat de la fille de MOUMIE : cette affaire Marthe MOUMIE est très sensible. Ses origines sont aux sphères du pays et ont des bras longs qui peuvent frapper n’importe où. EBOUTOU MINLA’A affirme qu’il y a eu bagarre entre lui et la victime à 20 heures. A cette heure-là, la fillette ne pouvait pas dormir d’un sommeil profond au point de ne rien suivre. C’est très probablement tard dans la nuit que cette horreur a été perpétuée. Il est impossible que EBOUTOU MINLA’A ait agi tout seul  au point de n’avoir aucune trace de la bagarre sur lui et avec autant d’efficacité contre une dame de 70 KG contre 60 Kg environ d’EBOUTOU MINLA’A. Ce qui suggère fortement la présence de plusieurs complices. Neutraliser violemment, violer et tuer Marthe MOUMIE  sans le moindre bruit, sans troubler le sommeil léger de la fillette à 20h tardivement ne peuvent que étayer la thèse de complicité dont EBOUTOU MINLA’A aurait vraisemblablement ouvert la porte comme convenu  après son infiltration au domicile de la veuve MOUMIE. Le viol d’une vieille dame de 78 ans est la signature des loges ésotériques qui nuisent tant au Kamerun. EBOUTOU MINLA’A  est certes coupable mais aussi complice car il a été vraisemblablement jeté en pâture pour diversion afin de dissimuler ses complices et les commanditaires du meurtre qui sont aux sphères du pays tant à Ebolowa que à Yaoundé comme il l’a confié à l’avocat des ayants-droit. C’est pourquoi l’enquête s’est focalisé exclusivement sur EBOUTOU MINLA’A Son mutisme lui vaudrait des lendemains qui chantent et la liberté dans les années à venir. Comme le leader indépendantiste de l’UPC  et son époux MOUMIE, Marthe MOUMIE a été assassinée. L’UPC véritable dites des fidèles, et sa fille l’ont inhumée dignement. Ces  meurtres des membres de l’UPC, cette marginalisation de l’UPC et ces contrefaçons UPC, qui ne servent que de caution démocratique à un régime dictatorial à vernis pluraliste,  sont perpétuées contre l’UPC véritable dite des fidèles (quoique légale depuis le 25 février 1960, confirmée par l’article 5 des lois sur les libertés publiques de 1990) pour occulter et travestir la mémoire historique du Kamerun, pour perpétuer l’arriération du pays et la misère du petit peuple, d’où également le refus de la CENI (commission électorale nationale et indépendante en lieu et place de l’actuel ELECAM) et des élections justes et transparentes par la régime en place. Marthe MOUMIE est auteur d’un ouvrage : victime du colonialisme, et a participé comme personnage central au documentaire de Franck Garbely: autopsie d'une décolonisationson ouvrage et ce documentaire sont recommandés à tout kamerunais et à tout Africain.
                                                                           JEAN ARTHUR AWOUMOU                                
                                                           DIRECTEUR BUREAU DUCOMITE DE L´UPC